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La première manifestation de l'interprétation du Royaume de Dieu dans un contexte politique est dû à l'influence qu'elle exerça la compréhension apocalyptique d'une vision du monde qui se rapporte à la théologie judaïque et son assimilation par les Romains. Ce phénomène s'est produit pendant le premier et le deuxième siècle, dans une période où les attentes d'Israël pour une libération imminente du joug des Romains se sont multipliées amplement. L'empereur Hadrien a suivi une politique d'appropriation des symboles puissants du judaïsme avec la construction de Jupiter Capitolinus, une réplique du temple de Capitol de Rome, érigé sur les ruines du temple de Salomon, qui fut nommé par l'empereur romain Colonia Aelia Capitolina, une sorte de colonie secondaire d'après le Capitol romain. Parallèlement, il a commencé la construction d'un temple aux dimensions énormes à Rome, qu'il dépasserait en magnificence le temple de Salomon que les Romains ont détruit à Jérusalem. 1 L'architecte du temple serait l'empereur luimême, selon le modèle de Salomon, qui suiva des instructions divines à la construction de son temple.
Revue CMC Review, 2016
Le lyrisme est particulierement present dans la nature sublimee par les Romantiques qui peuvent ainsi mettre en avant l’expression de leurs sentiments personnels. La revelation de leur ethos s’exprime aussi bien a travers la litterature (poesie, chanson, nouvelle, roman) que la peinture. Leurs etats d’âmes, mis en evidence par des effets stylistiques et picturaux sont diffuses en Europe (Allemagne, Angleterre, France, Autriche, Russie) essentiellement de la fin du XVIII e siecle au XIX e siecle.
2019
Les diverses découvertes archéologiques faites par le passé sur les parcelles dominant l’actuel château d’Abère, et la collecte d’informations réalisée dans le cadre d’une opération de prospection-inventaire pilotée par l’université de Pau attestent qu’il existe à Asson, bien avant le Moyen Âge, un habitat groupé sur la terrasse qui domine l’Ouzom, au carrefour de deux voies principales empruntées pour le transport du minerai de fer et la transhumance. Le plan de la bastide d’Asson s’articule..
Dans le dernier quart du XV e siècle, à cause des espoirs d'alliance en vue de prendre les Turcs à revers, l'Éthiopie est au coeur des préoccupations des souverainetés d'Occident et en particulier de la papauté, ce qui entraîne un intérêt croissant pour la géographie, au sens large, de cette région. Les oeuvres des trois personnages assez peu connus qui forment la matière de ces notes -un franciscain, un séculier et un dominicain -témoignent de cet intérêt ; elles se situent dans le cadre général de la géographie humaniste, attachée à confronter l'espace antique et contemporain. Leurs auteurs sont en relation entre eux, non seulement par leur intérêt commun pour les choses éthiopiennes, mais encore par des rapports textuels qui s'observent dans leurs oeuvres, au moins pour deux d'entre eux. Après les avoir présentés, on examinera la façon diverse dont ils abordent la géographie de l'Éthiopie 1 .
Colloque international organisé par le Centre Georges Chevrier et l'Institut Interdisciplinaire d'anthropologie du contemporain MSH de Dijon 6, 7, 8 décembre 2016 Appel à communication À donner du crédit à l'hypothèse, formulée par Daniel Fabre (2013), selon laquelle, à partir des années 1960, sous l'impulsion du ministère des Affaires culturelles d'André Malraux, la société française serait entrée dans un « âge du patrimoine », on serait fondé à penser que l'invention du patrimoine ethnologique en a été un moment à la fois éclairant et singulier, à la fois le point d'orgue et le moment ultime. Éclairant parce qu'il aurait été la pleine expression de cet âge : prenant le pas sur le monument, le patrimoine devenait culturel puis immatériel, et étendait au peuple et à ses oeuvres le périmètre de ce qui doit être distingué, au nom de la nation en même temps qu'à celui de la connaissance savante. Singulier car il introduisait cependant une note dissonante dans le cours réglé de la « raison patrimoniale » en accompagnant sinon en orchestrant un certain débordement des institutions, la « démocratisation » de la cause patrimoniale – voire sa déclinaison démocratique –, sa diffusion et sa saisie dans les mondes sociaux. En somme, le patrimoine ethnologique serait au coeur de l'ambivalence même de l'âge du patrimoine – d'ailleurs parfois indexé sur la thèse présentiste (Hartog 2003) – où l'expérience du passé se confond avec celle de la culture et devient non seulement une affaire de tous, dans laquelle tout un chacun peut faire valoir ce qu'il a et ce qu'il est, mais un argument significatif de « développement », maître-mot performatif du local au national dont l'usage se répand au même moment. Et ainsi, il aurait été le ferment de la formation d'un « espace public » du patrimoine dont l'extraordinaire sinon monstrueux déploiement aujourd'hui dans les mondes académiques, associatifs, administratifs, politiques, économiques, etc., ne connaît guère de limites. C'est cette position singulière du patrimoine ethnologique et de sa politique que nous souhaiterions interroger avec ce colloque qui prolonge un séminaire tenu en 2010-2011, (« L'instauration du patrimoine ethnologique. Projet scientifique, catégorie d'action publique et instrument de gouvernementalité : retour sur une expérience française », IIAC-LAHIC, Paris), et en constitue l'aboutissement.
enseveli, est descendu aux enfers, le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant d'où il viendra juger les vivants et les morts. Je crois en l'Esprit Saint, à la sainte Eglise catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés, à la résurrection de la chair, à la vie éternelle. Amen.
Sur un thème apte à remplir d'épais volumes, quelques mots rappelleront ici la violence du masque dans les affaires humaines. Figure figée, transposée de notre monde à celui du mythe, elle intervient partout, par sa réalité ou par son allusion, dès qu'il s'agit d'intercession magique, lors de cérémonies ou de rituels. Ceux exprimés par la mythologie aurignacienne sont particulièrement explicites et constants : le félidé du Stadel ou l'homme cornu de Fumane. (fig. 1).
Préparée par : Louis L'Allier, professeur agrégé à l'Université Laurentienne llallier@laurentienne.ca et Renée Venne, étudiante à l'Université Laurentienne. Dernière révision : le mercredi, 20 mai 2020 Cette bibliographie a été colligée à partir des sources suivantes : Bibliographie classique des années 1896 à 1914 par S. Lambrino. Dix années de bibliographie classique par J. Marouzeau. L'année philologique par J. Ernst Bibliography Of Editions, Translations, And Commentary On Xenophon's Socratic Writings 1600-Present. Mathesis Publications, Pittsburgh. 1988 par D.R. Morrison. Vie de Xénophon : suivie d'un extrait historique et raisonné de ses ouvrages; où se trouve la traduction de plusieurs opuscules de cet auteur qui n'ont point encore paru en Français, tels que l'apologie de Socrates; terminée par la traduction complette et nouvelle du Banquet de Xénophon : Paris, Chez Gail, Nyon jeune, an III [1795] Anonyme. La préface 1 La section « auteurs modernes » de cette bibliographie contient aussi les ouvrages portant sur la République des Athéniens du pseudo-Xénophon, attribuée à Critias, lorsque ces travaux nous éclairent sur les caractéristiques de Xénophon.
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abstract of a dissertation of doctorat in theologie, 2021
Papier draft Mémoire de cours Civilisations Mésopotamiennes 2021/2022 , 2023
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2022
Actes du Séminaire de Salagon, C’est quoi l’ethnobotanique? (Octobre 2017), 2019