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J.D. Beazley classe le peintre de Genève dans le Cercle du peintre des Niobides, actif au milieu du Vè siècle av. J.-C. Il lui attribue un nombre limité de vases - trois -, dont l'iconographie, particulièrement intéressante, est l'objet de cette étude.
UN Historical Series, 2022
Du projet de construction d'une salle de conférences à celui d'un nouveau siège de la SdN. .
Après la monographie de T.B.L. Webster parue en 1935, c'est un ouvrage exhaustif sur le peintre des Niobides et sur son atelier (peintre d'Altamura, peintre de Blenheim, peintre de Genève, peintre des Satyres laineux, peintre de l'Hydrie de Berlin...), essentiellement axé sur l'iconographie.
LA VANITE DE LA PEINTURE, 2024
Oh, muse capricieuse de l’art pictural, que d’ombres fugitives tu fixes sur la toile, emprisonnant dans un silence immobile des visions éphémères ! Par quel charme insondable convaincs-tu l’âme humaine d’apprécier ce qu’elle dédaigne en son état naturel ? Voici que la branche desséchée devient chef-d’œuvre sous le pinceau d’un maître, et l’âne qui broute sous un ciel plombé se change en majesté sur la toile. Comment ne pas s’émerveiller de ce paradoxe où l’art de l’homme, fragile et vain, sublime ce que la nature, dans son éternelle splendeur, laisse souvent inapprécié ? Voyez donc ce portrait d’un humble paysan, le visage buriné par le labeur, les mains calleuses témoins d’une vie de peine. En sa présence, dans la réalité nue, qui s’arrêterait pour admirer ? Et pourtant, placez cette même âme rude sur la toile, revêtue de l’habileté du pinceau, et soudain les foules se pressent, s’émeuvent, et louent la magnificence du réalisme. Oh, absurdité des sens, qui vénèrent la copie tandis qu’ils ignorent l’original ! La peinture, comme une amante insidieuse, embellit ce qu’elle touche. Elle pare la banalité de mystère, transfigure l’ordinaire en épique. Le ciel morne d’une journée pluvieuse devient, sous la magie de l’artiste, une symphonie de gris et d’argent. L’homme, spectateur ébahi, s’extasie devant ce qu’il rejetait auparavant comme insignifiant. Ainsi, le pinceau confère-t-il au trivial une dignité que la nature elle-même n’avait su réclamer. Est-ce donc l’illusion qui gouverne nos cœurs, ou bien l’homme, esclave de son imagination, cherche-t-il à magnifier ce qu’il ne peut saisir pleinement ?
L'oeuvre du peintre Paul Alphonse Viry (1832-1913) né à Pocé-sur-Cisse est aujourd'hui méconnue. Élève de Picot, Viry a suivi les cours à l'École des Beaux-Arts de Paris à la fin des année 1850. Fidèle exposant du Salon parisien, il est remarqué en 1864, mais c'est surtout aux États-Unis que son travail est apprécié grâce au marchand G. Lucas. Les tableaux mis en vente actuellement sont principalement issus des collections américaines. SUMMARY: The work of the painter Paul Alphonse Viry (1832-1913), born in Pocésur-Cisse, is unrecognized today. Picot's pupil, Viry attended classes at the Ecole des Beaux-Arts in Paris at the end of the 1850s. A loyal exhibitor at the Paris Salon, he was noticed in 1864, but it was mainly in the United States that his work is appreciated thanks to the merchant G. Lucas. The paintings currently on sale come mainly from American collections. On sait peu de choses sur le parcours et la formation de Paul, Alphonse Viry, peintre d'Indre-et-Loire qui expose au Salon de 1861 pour la première fois. Fils de Paulin Viry, maître de forges, et de Pauline Perrin, il est né le 28 décembre 1832 au château de Pocé. Il passe son enfance dans l'ancienne bâtisse du XV e siècle, au milieu du parc, alors occupé par les bâtiments de la forge qui produisait de la fonte d'art, en plein essor au début du XIX e siècle.
L'un des articles de métrique les plus importants de Marc Dominicy est celui qu'il a co-signé avec Mihai Nasta, dans lequel il définit la nature syllabique du vers français par opposition aux systèmes accentuels et quantitatifs (voir Dominicy et Nasta 1993). Dans un volume destiné à lui rendre hommage, il m'a paru tout naturel de montrer comment, en s'appuyant sur la notion même de syllabisme, il était possible de cerner la spécificité de la métrique de Saint-John Perse. Plusieurs exégètes de ce poète ont relevé que sa « prose poétique » était structurée par des récurrences formelles clairement dessinées. Celles-ci sont en général décrites en appliquant au texte une grille de lecture pré-établie, qui s'inspire des conventions en usage dans la poésie versifiée, ce qui conduit à repérer au fil du discours des octosyllabes, des alexandrins, des décasyllabes, etc. (voir Caillois 1954, Parent 1960, Bateman 1976, etc.). Il n'existe toutefois aucune étude qui procèderait à la description systématique de ces récurrences sur un corpus donné, en les quantifiant et en spécifiant les contraintes qui pèsent sur leur actualisation. L'objet du présent article est de poser des éléments de méthode propres à l'analyse du verset persien, et de les appliquer aux trois premiers livres de Vents, soit un corpus d'environ 12.000 mots, afin de formaliser les récurrences observables et, ce faisant, de caractériser le système métrique qu'elles reflètent. 1. Chercher des vers dans la prose (poétique) L'étude des récurrences formelles dans un texte non versifié peut suivre diverses méthodes. L'une d'entre elles consiste à rechercher dans le texte des mètres correspondant à ceux des vers les plus usuels de la poésie française. Comme suggéré en introduction, c'est la méthode le plus souvent suivie, mais que l'on écartera d'emblée. Procéder de cette manière présente en effet deux inconvénients majeurs. Tout d'abord, cela revient à appliquer au corpus d'étude une grille de lecture préfabriquée, qui ne correspond pas nécessairement au dessein du poète, sauf déclaration explicite de l'auteur allant dans ce sens. S'agissant de Perse, s'il a souligné à plusieurs reprises l'importance qu'il accordait à la métrique, il n'a jamais affirmé qu'il composait en alexandrins ou en octosyllabes. Ainsi, considérer que (les barres obliques marquent les coupes potentielles) « Qu'on nous ménage, sur deux mers, / les baies nouvelles pour nos fils, / et, pour nos filles de front droit / aux tresses nouées contre le mal, / des villes claires aux rues droites » (p. 52) est une suite d'octosyllabes, ou que « Comme on tenait au feu / des forges en plein air / le long cri du métal / sur son lit de luxure, » (p. 28) est une suite de deux alexandrins ou de quatre hexasyllabes ne constitue peut-être pas une description adéquate par rapport à l'intention même du poète. Ensuite, d'un point de vue épistémologique, il est curieux de chercher à analyser des énoncés qui ne relèvent pas de la poésie versifiée traditionnelle en leur appliquant des conventions comme le comptage syllabique ou le découpage en
Etude d'un peintre de lécythes relativement méconnu, actif dans la seconde moitié du Vè siècle av. J.-C., spécialisé dans l'iconographie féminine (femmes au gynécée, Amazones, Artémis...)
journal KS n° 476, 2007
Électromyostimulation Hypotonie Plancher pelvien Sondes d'électromyostimulation Des surcharges pondérales viscérales chroniques ou répétées, les accouchements sont les causes principales des hypotonies du plancher pelvien
This work follows the literary geography of the Catalan writer Mercè Rodoreda through the city of Geneva during the years she lived there from 1954 to 1979 to the intermittent last seven years. From his work, especially the narration "Paralysis", can be fixed on the map of Geneva life and work of Rodoreda, the experienced places and places described in his literary production. Finally it is a Rodoreda literary route to Geneva.
Cet article vise à démontrer que la richesse et la pauvreté ne peuvent être traitées isolément, puisqu'elles sont les faces d'une même médaille formant un ensemble irréductible.L'analyse de la richesse est indissociable de la pauvreté, car la concentration de la richesse engendre l'exploitation, qui constitue un élément générateur de la pauvreté. Cela revient à dire que le dogme selon lequel la promotion de la concentration des richesses et des revenus serait le moyen du développement économique et de la lutte contre la pauvreté est une sophisme capitaliste. On pense généralement que les causes de la misère et de la pauvreté sont liées aux inadaptations familiales, à l'impréparation scolaire de l'individu au monde du travail et à son incapacité à entreprendre. Les causes de la pauvreté sont liées aux inégalités sociales résultant de la concentration des richesses dans le capitalisme. Existe-t-il une solution qui mène à la réduction des inégalités sociales ? La réponse est que la fin des inégalités sociales ne sera atteinte que lorsque l'État providence sera mis en place sur le modèle de celui pratiqué dans les pays scandinaves avec l'adaptation nécessaire à chaque pays, car c'est le système social le plus abouti jamais mis en place dans le monde car incarne les éléments les plus positifs du socialisme et du capitalisme.
tourbillon, produit l'apparence de pétales de fleur, ou « peut-être plus exactement de soucoupes ou de vases peu profonds en verre ondulé et irisé ». Ainsi, en supposant un tourbillon éthérique soumis à l'arrivée d'une force du Logos, les « Lotus » décrits dans les livres hindous et le nombre de leurs pétales sont également expliqués par l'auteur, qui substitue au centre Svâdhishthâna un lotus à six pétales situé au niveau de la rate [25] , et corrige le nombre des pétales du lotus de la tête, qui, déclare-t-il, n'est pas mille, comme le disent les traités de Yoga tantrique, « mais exactement 960 [26] ». Le centre « éthérique » qui maintient en vie le véhicule physique correspondrait à un centre « astral » à quatre dimensions, mais entre elles se trouve une gaine ou un réseau de tissu serré, composé d'une seule couche comprimée d'atomes physiques, qui empêche l'ouverture d'une communication prématurée entre les plans. Il existerait une manière de les ouvrir ou développer correctement, afin d'introduire des plans supérieurs, par ce canal, plus qu'il n'en passe ordinairement. Chacun de ces centres « astraux » a certaines fonctions : au nombril s'obtient un simple pouvoir de sentir ; à la rate, le « voyage conscient » en corps astral ; au coeur, « le pouvoir de comprendre les vibrations d'autres entités astrales et de sympathiser avec elles » ; à la gorge, le pouvoir d'entendre sur le plan astral ; entre les sourcils, la « vue [27] astrale » ; au « sommet de la tête », la perfection de toutes les facultés de la vie astrale. C'est pourquoi l'auteur dit que ces centres jouent le rôle, dans une certaine mesure, d'organes des sens pour le corps astral. Dans le premier centre, « à la base de la moelle épinière », est le « Feu du Serpent », ou Kundalini, qui existe en sept couches ou sept degrés de force [28]. Ce « Feu » est la manifestation dans la matière éthérique, sur le plan physique, de l'une des grandes forces cosmiques, l'une des puissances du Logos, dont la vitalité et l'électricité sont des exemples. Autre, paraît-il, est Prâna, la vitalité [29]. Les « centres éthériques », une fois complètement éveillés par le « Feu du Serpent », sont censés amener à la conscience physique la qualité, quelle qu'elle soit, inhérente au centre astral qui lui correspond. Une fois vivifiés par le « Feu du Serpent », ils deviennent des portes faisant communiquer les mondes physique et « astral ». Quand l'éveil astral de ces centres a eu lieu pour la première fois, la conscience physique n'en fut pas avertie. Mais le corps sensible peut maintenant « être amené à partager tous ces avantages en répétant ce processus d'éveil avec les centres éthériques ». On y parvient en éveillant, par la force de la volonté, le « Feu du Serpent », qui existe vêtu « de matière éthérique sur le plan physique, et dort [30] dans le centre éthérique correspondant, celui qui se trouve à la base de la moelle ». Les centres supérieurs en sont vivifiés, ce qui a pour effet d'amener à la conscience physique les puissances éveillées par le développement des centres astraux qui leur correspondent. En un mot, on commence à vivre sur le plan astral, ce qui ne serait pas absolument un bénéfice, n'était que l'accès au monde céleste s'obtient, dit notre auteur, à la fin de la vie sur ce plan [31]. Ainsi, au deuxième centre, on a conscience dans le corps physique « de toutes sortes d'influences astrales, avec le vague sentiment qu'il en est d'amicales et d'autres hostiles, sans qu'on sache le moins du monde pourquoi ». Au troisième centre on devient capable de se rappeler, « en partie seulement », de vagues voyages dans l'astral, avec parfois le demi-souvenir d'une sensation délicieuse de voler à travers les airs. Au quatrième centre l'homme connaît d'instinct les joies et les peines des autres reproduisant parfois eu lui-même leurs maux et leurs souffrances physiques. À l'éveil du cinquième centre il entend des voix « qui lui Ensuite il est question de cette Force, « le Feu du Serpent », que les Hindous nomment Kundalinî, située dans le centre le plus bas, le Mûlâdhâra. Enfin, l'effet de l'éveil de cette force, qui est accompli par la puissance de la volonté (Yogabala) [36] , exalterait la conscience physique, en passant par les plans ascendants, jusqu'au « monde céleste ». Pour employer l'expression hindoue, l'objet et le but de Shatchakra-bheda est le Yoga. Celui-ci est finalement l'union avec le Soi Suprême ou Paramâtmâ ; mais il est évident que le corps dans son état actuel étant déjà, bien qu'inconsciemment, en Yoga, sans quoi il ne saurait exister, tout pas fait consciemment vers le haut est Yoga, et il en existe bien des degrés avant que ne soit obtenue la Délivrance complète ou Kaivalya Mukti. Ce degré, et, en vérité, bon nombre des degrés précédents, sont bien au-delà du « monde céleste » dont parle l'auteur. Les Yogî ne s'intéressent pas au « monde céleste », mais cherchent à le dépasser ; sinon, ils ne sont nullement des Yogî. Ce que semble accomplir, dans cette théorie, la force manifestée, c'est l'exaltation des qualités mentales et morales de l'opérateur, telles qu'elles existaient lorsque se révéla à lui cette force. Mais s'il en est ainsi, une telle exaltation peut être aussi peu désirable que l'état originel. En dehors de la nécessité de posséder santé et force, la pensée, la volonté et la moralité qu'on se propose de soumettre à son influence doivent être d'abord purifiées et fortifiées, avant d'être intensifiées par l'influence vivificatrice de la force éveillée. En outre [37] , les Yogî disent que la percée du Brahmagranthi ou « noeud [38] » entraîne parfois une souffrance considérable, des désordres physiques, et même la maladie, comme en peut fort bien entraîner la concentration sur un centre tel que le nombril (Nâbhipadma). Pour user de termes hindous, le Sâdhaka doit être qualifié (Adhikârî), et sa qualification déterminée par son Guru, qui peut innombrables traités sur cette question) de ces hommes circulant dans toutes les régions du pays ». Le seul éveil de la puissance du Serpent n'est pas, du point de vue spirituel qui est celui du Yoga, d'un grand prix. Rien de vraiment important, du point de vue du Yogî supérieur, ne s'obtient avant que l'Ajnâ Chakra ne soit atteint. Il est dit que le Sâdhaka dont l'Atmâ n'est que méditation sur ce lotus « devient le créateur, le préservateur et le destructeur des trois mondes » ; et pourtant, comme le remarque le commentateur du Shatchakranirûpana (v. 34), « ce n'est là que le plus haut Prahamsâ-vâda ou Stutivâda », c'est-à-dire « complément », qui, dans la littérature sanskrite, est aussi souvent dépourvu de réalité que notre vie ordinaire. fût légèrement tiède. (C'est, dans le Kundalî-Yoga, l'état de Samâdhi.) On le massa avec du ghee (beurre clarifié), et la tête se réchauffa graduellement. La chaleur descendit jusqu'au cou, et alors le corps tout entier retrouva d'un seul coup sa chaleur. L'homme reprit conscience, et conta comment il était tombé dans cet état. Il dit qu'il avait fait des contorsions, imitant les postures d'un Yogi, quand brusquement le « sommeil » l'avait pris. On supposa que sa respiration avait dû s'arrêter, et que, se trouvant dans la position et les conditions requises, il avait sans le savoir éveillé Kundalinî, qui était montée à Son centre cérébral. Cependant, n'étant pas Yogi, il n'avait pu la faire redescendre. Cela, d'ailleurs, n'est possible que si les Nâdî sont pures. Je contai au Pandit qui me rapporta cette histoire (il connaissait le Yoga tantrique, et son frère le pratiquait) le cas d'un de mes amis européens, ignorant des opérations du Yoga ici décrites, bien qu'il eût appris quelque chose au sujet de Kundalî dans des traductions d'ouvrages sanskrits, et qui néanmoins croyait avoir éveillé Kundalî par le moyen de la seule méditation. En fait, comme il me l'écrivit, il était inutile pour lui, Européen ; d'entrer dans les détails du Yoga oriental. Il vit pourtant les « nerfs » Idâ et Pingalâ, le « feu central » avec une aura tremblante de lumière rosée, une lumière bleue ou azurée, un feu blanc qui montait jusqu'au cerveau et s'irradiait en ailes de flamme des deux côtés de la tête. Le feu gagnait de centre en centre avec une telle rapidité qu'il ne put percevoir qu'une faible part du spectacle, et il voyait des mouvements de forces dans le corps des autres. Le rayonnement, l'aura qui entourait Idâ avait un aspect lunaire (c'est-à-dire qu'il était du plus pâle azur), et celui qui entourait Pingalâ était rouge, ou plutôt d'un rose pâle et opalescent. Kundalî apparaissait dans cette vision comme un feu intense, blanc et doré, en forme de spirale. Si l'on considère le Caducée de Mercure [51] comme symbolisant les centres, Sushumnâ, Idâ et Pingalâ, la petite boule au sommet de la baguette s'identifiait au Sahasrâra ou glande pinéale [52] , et décrit est une telle dissolution (Laya). Ce retour, ce processus de dissolution (Nivritti), effectué par le Yoga, ne sera compris que si l'on a compris d'abord la marche en avant, le processus créateur (Pravritti). Des considérations analogues sont valables pour les autres questions ici traitées. C'est ainsi qu'une brève analyse de la doctrine Shâkta sur la Puissance ne sera pas inutile.
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Questions De Communication, 2004
Across the Mediterranean - Along the Nile 2. Studies in Egyptology, Nubiology and Late Antiquity Dedicated to László Török on the Occasion of His 75th Birthday. Edited by T. A. Bács, Á. Bollók, and T. Vida, 2018
HABITAT RURAL ANTIQUE DANS LES ALPES-MARITIMES, Actes de la table ronde du 22 mars 1999, Valbonne, 2001
Revue Archeologique De L Est, 2008
SFECAG - Recueil des ateliers de potiers, 2009
Fictions de vérité dans les réécritures européennes des romans de Chrétien de Troyes, éd. par Annie Combes, Paris, Classiques Garnier, 2012
Actes du colloque: comprendre les inégalités hommes- …, 2004
COLORANTS PIGMENTS & ENCRES DES VÉGÉTAUX, 2018
S. Descamps - Lequime (εκδ.), Peinture et couleur dans le monde grec antique., 2007