Feuille de salle de l'exposition dossier "Carpeaux et l'Antique" présentée au musée des Beaux-Arts de Valenciennes du 22/03/2012 au 18/06/2012 : « […] Exécution de l'antique, c'est de tradition et mon esprit refuse cet héritage. De hardis génies germes à l'époque de la renaissance avaient cependant brisé le lien d'esclavage sous leur ciseaux, le marbre et le bronze étaient devenus palpitants de mouvements et de passions… » Cette formule que l’on doit à la plume de Jean-Baptiste Carpeaux (1827-1875), évoque parfaitement l’ambigüité qui définit le rapport personnel qu’entretient cet artiste avec la sculpture antique. Le sculpteur valenciennois affirme en effet à plusieurs reprises refuser de se conformer au carcan que représente la statuaire antique dans le système académique. « Je les attends tous avec leurs Faunes, leurs Vénus pillés de l’antique. C’est de la sculpture d’occasion qu’ils font. », exprime-t-il, non sans provocation, dans une lettre à Louis Dutouquet en date du 17 juillet 1863. Carpeaux fait-il allusion au Faune à l’Amphore (14), l’œuvre de Gustave Crauk (1827-1905), dont une version en bronze fut exposée au salon deux ans plus tôt ? Pourtant, malgré cette indépendance revendiquée, Carpeaux n’échappe pas à son temps et son œuvre abonde de références à l’antiquité.

Recherches et analyses sur les sceaux plaqués des diplômes mérovingiens et carolingiens, dans lesquels des cheveux humains ont volontairement été mêlés à la cire : une pratique symbolique visant à renforcer le pouvoir exécutoire de l'acte?

Pratiques du pouvoir monarchique dans l'Orient hellénistique et romain (iv e siècle avant j.-c. - ii e siècle après j.-c.)

 Eglise catho = institution Fdmtl du MA = Esble de ceux qui croient a la doctrine qu'elle enseigne :

La législation sur les Juifs tient une place de choix dans les statuts promulgués par Amédée VIII en 1430. 1 Avec seize articles, les normes réglant la place des communautés juives au sein de la société chrétienne occupent une bonne partie du premier livre de la réforme amédéenne, et développent le noyau déjà contenu dans l'article De iudeis, promulgué avec les statuts de 1403. 2 Le sens de cette législation, ainsi que les rapports entre les communautés juives et le pouvoir princier, ont fait l'objet d'études relativement abondantes. 3 La plupart des historiens a insisté sur deux éléments quelque part antinomiques. Les recherches ont avant tout souligné le rapport ambivalent de protection et d'exploitation financière mis en place par les princes savoyards par le biais de chartes et de privilèges. Selon cette interprétation, le pouvoir princier aurait toléré les communautés juives en raison du retour économique et financier qu'elles apportaient, lié surtout à leur activité de prêt. En second lieu, plusieurs études ont pu montrer comment, surtout à partir du XV e siècle, Amédée VIII et ses successeurs, ont élaboré une politique de ségrégation, dont la volonté de reléguer les Juifs dans un quartier bien circonscrit et le port du signe distinctif ne sont que les deux éléments les plus connus. Suite aux travaux de Rinaldo Comba, cette législation répressive, qui trouve dans les statuts de 1430 un moment de formalisation importante, a été lue dans une perspective théologico-morale. La réforme amédéenne traduit, selon cette perspective, une volonté de « moralisation venant d'en haut », qui se décline dans un « projet d'ordre » visant à faire de la société une société chrétienne par la force 4 .

European journal of Turkish studies

Le corpus examiné ici est composé de quatre types de cartes (suivant la composition classique des atlas de l'époque) 3. 1/ Cartes mondiales C1 : « Les hémisphères ; oriental ; occidental » (fig. 6) C2 : « Les courants océaniques » (fig. 11) 2/ Cartes continentales C3 :

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Redazione informatica e impaginazione: Arun Maltese (www.bibliobear.com) Grafica della copertina a cura di Paolo Ferrero

Michel Figeac (dir.), Le prince et les arts en France et en Italie (XIV -XVIIIème siècles, Paris, Sedes, 2010.

Travaux et Mémoires 12, 1994